jeudi 26 décembre 2013

Portrait en noir et blanc


Cette photo est une version noir et blanc d'un cliché couleur publié dans mon précédent billet. Shooté à 3200 iso, elle a du grain et me rappelle mes tirages argentiques d'antan.
Elle a ma préférence et vous?


mardi 17 décembre 2013

Catan photographe guadeloupéen



Grâce à Francis Monnerville, un de mes lecteurs que je remercie vivement, j'ai découvert le photographe guadeloupéen CATAN. Né en 1899, mort en 1979, il a laissé une oeuvre en noir et blanc témoignage de la vie guadeloupéenne.
Vous pouvez le découvrir sur le lien suivant CATAN - Photographe Guadeloupéen - 1899 - 1979 | Facebook

lundi 16 décembre 2013

Pentax 55/300 prise en main ,suite... la pleine lune.

Pour tester mon nouvel objectif , j'ai fait des photos de la lune. La première a été prise vers quinze heure, trois jours avant la pleine lune. Les autres ont été prises ce jour vers vingt heures.

iso 100, f/8, 1/200 à 300mm


Cette photo a été prise en mode automatique et le résultat des réglages de l'appareil ont été les suivants:
iso 3200, f/5,8, 1/50 à 300mm
La lune est comme un disque lumineux plat, mais les nuages sont présents.

Ces deux photos qui suivent, ont été prises en mode manuel
iso 400, f/8, 1/640 à 300mm, mesure spot.
 la lune a pris du relief et on voit le détail de sa géographie.

Ici réglage différent pour un résultat à peu près identique.
iso 100, f/8,1/100, à 300mm
Ici un agrandissement de la photo précédente, en cliquant dessus on peut encore mieux voir les détails et notamment les cratères. 


jeudi 12 décembre 2013

Pentax 55/300 DA



Je viens de recevoir par colissimo le Pentax 55/300mm DA  commandé chez Miss Numérique. Encore une fois tout s'est très bien passé et les délais ont été respectés.
Réceptionné à 10h j'ai fait les premiers essais dès 14h.
Quand on utilise pour la première fois un tel objectif, il faut un temps d'apprentissage afin de bien  maitriser les longues focales. Bien évidemment les premiers clichés que je vous présente ne sont pas de sujets en mouvement, pas d'oiseau en plein vol ou de course de motos, et malgré cette démarche précautionneuse j'ai eu beaucoup de déchet. Je n'ai pas suffisamment d'expérience et de recul pour porter un jugement. Disons simplement que cette première prise en main me parait plutôt positive et instructive. Tous les clichés ont été pris en mode manuel.

iso 100, f/8, 300mm, 1/400 

idem

iso 100, f/8, 300mm, 1/160

idem

iso 200, f:6.3, 300mm,  1/150

iso 200, f:5.6, 260mm, 1/640


iso 200, f 5.6, 210mm, 1/320 

iso 100, f/8, 300mm, 1/400

iso 100, f/8, 170mm, 1/250

iso 100, f/8, 260mm, 1/250

mardi 3 décembre 2013

Cappella Sistina

 Ceci est mon dernier billet sur mon séjour à Rome. Il m'était inconcevable de venir à Rome et de ne pas me rendre à la Chapelle Sixtine afin de voir les fresques de Michel- Ange. Depuis qu'elles ont été restaurées j'en rèvais. Voila c'est fait. Mais les voir n'est pas une sinécure et c'est aussi une grande frustration.
En effet pour les voir il faut visiter les musées du Vatican qui sont d'une très grande richesse car on peut y admirer aussi bien les stanzes de Raphaël, que des oeuvres plus modernes ou des sculptures grecques d'une grande beauté, notamment le groupe de Laocoon qui de l'avis de tous est l'expression la plus aboutie du génie des sculpteurs grecs.


Mais pour avoir accès à ces chefs d'oeuvre, il faut affronter des queues longues et fatigantes, accepter d'être pris dans le flot des touristes telle une sardine au milieu du banc.




En plus des chefs d'oeuvre nous avons également admiré beaucoup de nuques!


Une fois arrivé à l'entrée de la Chapelle Sixtine, un cerbère vérifie que les appareils photos sont éteints et rangés, et on pénètre enfin dans le saint des saints, et c'est une grande joie mêlée d'une grande frustration, car on est parqué dans le centre de la Chapelle sombre et on nous assène un solennel, lugubre et tonitruant "SILENCIO!", et on peut enfin admirer l'oeuvre de Michel-Ange. Mais cela est de courte durée car le flot continu des visiteurs vous pousse inexorablement au bout de quelques brèves minutes vers la sortie. Malgré l'interdiction de photographier j'ai réussi à repartir avec un souvenir de ce moment. En effet après avoir mis mon appareil sur la position automatique, du fond de mon sac je fis trois clichés du plafond, au jugé, que voici. Elles ne serviraient pas à illustrer un livre d'art, mais elles montrent bien l'ampleur et la puissance créatrice de Michel-Ange. (iso 3200/ f 4,5 / v 0,40s, Pentax 18/55 à 35mm)





Une fois sortis bien fatigués, il nous restait à mon épouse et moi à visiter la basilique St Pierre. Mais devant la longue queue qu'il fallait à nouveau affronter, nous nous sommes contentés de l'admirer de l'extérieur.




lundi 2 décembre 2013

Samedi après-midi, Fort de France désertée.....


Du plus lointain de mes souvenirs le centre ville de Fort de France, meurt le samedi après midi pour renaître le lundi à l'aube, reprendre sa vie et redevenir le coeur bourdonnant de la Martinique. La noria des taxis collectifs, les flots de véhicules encombrant tout le réseau routier, lui amènent son sang de toutes les communes de l'ile. Elle redevient, comme dit la nouvelle édilité, la Ville Capitale. Ces quelques photos tentent de vous rendre compte  de ce vide qui se produit tous les samedis.

La rue Saint Louis telle qu'en mes souvenirs de plus de cinquante ans, avec les chiens errants en moins et les caniveaux recouverts.Tous les commerçants ont baissé rideau, et plus un quidam.  


Le marché aux viandes rénové, une à une les échoppes ferment.


La rue piétonne, elle aussi a clôs ses yeux.


La marchande de sinobol, plus de clients il est temps de tout remballer.


La gare routière.


Plus de navettes maritimes


Le front de mer vide, dénommé aujourd'hui "le Malecon", lui s'animera quand le soleil sera couché. Il se remplira de familles avec enfants et vélos, d'amoureux, de flâneurs, de vendeuses de boissons fraiches, de cornets de pistaches, de bonbons. Les foyalais se sont approprié cet espace qui est devenu un vrai lieu de vie et d'animations diverses. Ce sera l'objet de mon prochain reportage de nuit.